Nom véritable | Jérôme Charlebois |
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Aussi connu sous | -- |
Naissance | 1980 |
Carrière professionnelle | Depuis 2007 |
Il s'est passé trois ans entre la parution de "27", le premier album de Jérôme Charlebois et "Jérômanimé". Durant ce temps, non seulement a-t-il pu se présenter au public mais il a aussi plus de cent participations au spectacle Il était une fois... la Boîte à chansons à son crédit.
Comme il le disait lui-même, être le fils de son célèbre père « ça se cache mal, avec mes cheveux et tout le reste ». Surtout quand le goût de monter sur une scène fait partie de ses plans. Mais là devrait s'arrêter, ou du moins s'atténuer, toute comparaison avec Robert, le Garou premier. La musique que Jérôme écoutait à l'adolescence avec ses amis était d'ailleurs bien différente de celle qu'il pouvait entendre à la maison. « du rap, du grunge, du métal, tout ce que mon père n'aimait pas, quoi » lit-on encore dans son cahier de présentation.
Lui-même se mettra à la batterie vers l'âge de quinze ans mais entreprendra des études en cinéma avant de se rendre apprendre les techniques de voix à Paris. Et il lui faudra encore une dizaine d'années avant de se lancer dans ce métier pour y tenter sa chance.
C'est finalement à 27 ans, en 2007, qu'il propose un premier album intitulé... "27". Le disque présente un éventail de styles beaucoup plus assagis, si on se réfère à ses anciennes préférences: on y trouve des touches country, créole, bluesée et même folklorique avec "La bedaine à Jean-Pierre". La première pièce entendue en ondes "Mon petit côté français" a quant à elle quelque chose d'autobiographique sans donner dans les confidences intimes. Pour cette entrée en matière, l'auteur-compositeur-interprète qui a tout de même emprunté un texte à Réjean Ducharme, collaborateur de longue date de son père, et une pièce à Angèle Arsenault.
Impliqué dès le départ dans l'aventure Il était une fois... où il assume l'ouverture de rideau pour les Claude Gauthier, Pierre Calvé, Pierre Létourneau et Jean-Guy Moreau, il trouve le temps de composer quelques pièces qui sont dévoilées sur un second DC, presque un mini-album, où le caractère un peu plus rock fait surface. Outre une reprise de "Mon petit côté français" et une fantaisie dans le style paternel "J'aime ses défauts", Jérôme québécise "J'aime les filles" de Dutronc et effectue une montée (déjà aperçue dans une star-dub vidéo) sur une passe de "Maurice Richard" via la composition de Létourneau.
On peut visiter le site officiel de Jérôme Charlebois.